Le contrat faramineux de Roberto Luongo ne l'empêchera pas d'être échangé, selon le directeur général des Cancuks de Vancouver Mike Gillis.

Il reste 10 ans au contrat de 12 ans et 64 millions $ du gardien québécois.

Selon la nouvelle convention collective signée par les propriétaires de la LNH et les joueurs, une équipe qui envoie un de ses joueurs sous d'autres cieux peut quant même payer une partie de son salaire.

Mais Gillis ne voit pas pourquoi les Canucks devraient continuer de verser à Luongo une portion de son salaire à la suite d'une transaction, compte tenu de son statut de gardien étoile.

Luongo, qui a perdu son poste de gardien no 1 des Canucks aux mains de Cory Schneider lors des séries éliminatoires de l'an dernier, a mentionné qu'il pourrait lever sa clause de non-échange s'il était appelé à le faire.

De nombreuses sources prétendent que les Maple Leafs de Toronto seraient l'équipe qui aurait le plus de chances d'obtenir ses services.