Le printemps dernier, Julie Gosselin est devenue la première femme à occuper la présidence de Sports Québec.

Elle savait en acceptant le poste que ce ne serait pas de tout repos. Elle débarquait en pleine période de crise. À mi-chemin de son mandat de deux ans, elle dresse un portrait de la situation. Elle conserve un certain degré d’optimisme pour un éventuel retour à la normale.

> Lisez la suite sur le site du Droit