10. Noel Prefontaine
En connaissez-vous beaucoup, des joueurs qui ont joué dans la première mouture de la XFL ? Nous non plus, parce que d’abord, il n’y avait que neuf équipes et ensuite, ça n’a duré qu’une saison. Mais l’ancienne gloire de la Ligue canadienne Noel Prefontaine a fait partie de l’aventure. Ce botteur jouait pour une équipe qui s’appelait l’Xtreme, ce qui est assez redondant comme nom dans une ligue dont le X veut aussi dire « extrême ». Ce serait comme s’il y avait une équipe du nom de National dans la Ligue nationale de hockey. Enfin, on s’écarte. Regardez plutôt ce spectaculaire botté de Noel Prefontaine.
9. Noel Acciari
En 27 ans d’histoire, seulement deux joueurs des Panthers ont réussi des tours du chapeau dans deux matchs de suite : Pavel Bure et… Noel Acciari. Celui que le confrère Jean-François Chaumont surnomme affectueusement « Joyeux » a sa place dans ce top 10.
8. Rob Natal
Ça, c’est pour nos amis portugais, qui se souhaitent un Feliz natal le 25 décembre. On doute que l’on se serait souvenu si facilement de Rob Natal s’il n’avait pas disputé cinq matchs avec les Expos en 1992. Il avait été un des cinq receveurs du club cette année-là, en plus de Gary Carter, Darrin Fletcher, Rick Cerone et Tim Laker. Natal n’a frappé aucun coup sûr en six présences au bâton. Il aura finalement joué 115 matchs dans les majeures, avec un fait d’armes intéressant : son premier coup de circuit dans les majeures était également son premier coup sûr, et il l’a réussi contre un certain John Smoltz.
7. Dave Noël-Bernier
Un gars de Québec qui nous a montré qu’il y a bien des façons de se rendre à la LNH. Lui y est parvenu comme entraîneur responsable de la vidéo chez les Red Wings de Detroit de 2015 à 2017. Son départ de l’organisation lui a au moins permis de s’éviter les séances vidéo pas toujours jolies des Wings la saison dernière (sauf peut-être les lendemains de matchs contre le Canadien). Blague à part, le revoici à son alma mater, l’Université du Nebraska-Omaha, dans le rôle d’entraîneur adjoint. Un bon bonhomme, toujours disponible pour les médias.
6. Noel Gallagher
Eh oui. LE Noel Gallagher. Le tumultueux guitariste d’Oasis a aussi été un joueur émérite de football gaélique, si l’on en croit cette photo qui a fait surface sur Facebook il y a quelques années. L’histoire ne dit pas s’il réglait ses conflits sur le terrain comme il le fait avec son frère, c’est-à-dire à coups de poing.
5. Claude Noël
Aujourd’hui recruteur pour les Devils, Claude Noël est un chic type qui dépoussiérait toujours son français quand les Jets, qu’il a dirigés de 2011 à 2014, débarquaient à Montréal. Comme joueur, il n’a disputé que sept matchs dans la LNH, mais c’est dans les ligues mineures que ça devient intéressant. En 1974-1975, il portait les couleurs des Norsemen de Buffalo, équipe qui a déclaré forfait lors d’un match contre les Jets de Johnstown à la suite d’une bagarre qui a éclaté lors de l’échauffement. Évènement qui inspirera ensuite une scène du film Slap Shot…
4. Noel Price
Si Victor Mete pense qu’il a mis du temps avant de marquer son premier but dans la LNH, il peut se consoler avec l’histoire de Noel Price. Ce défenseur a disputé son premier match dans la LNH le 23 octobre 1957. Son premier but ? Exactement 10 ans et un mois plus tard, le 22 novembre 1967. Il s’agissait seulement de son 109e match, par contre, puisqu’il jouait surtout dans la Ligue américaine. Au repêchage d’expansion de 1967, les Penguins l’ont réclamé du Canadien, lui donnant sa première chance à temps plein dans la LNH. C’est avec Pittsburgh qu’il a marqué le premier de ses 14 buts dans la LNH.
3. Noël Picard
Tout le monde le connaît comme étant le malheureux qui a envoyé Bobby Orr dans les airs sur la photo la plus connue de l’histoire du hockey. Mais Noël Picard et sa famille ont marqué la ville de St. Louis de plus d’une façon. Sa femme, Vivianne, était notamment la chanteuse des hymnes nationaux aux matchs des Blues. Et Picard, grand amateur de chevaux, s’est trouvé un emploi de représentant pour Anheuser-Busch, qui lui permettait notamment de s’occuper des fameux chevaux Clydesdales de la brasserie.
2. Noel LaMontagne
Sa carrière professionnelle se limite à deux matchs avec les Browns de Cleveland en 2000. Le résultat : des défaites de 44-7 et 48-0. Mais que diable vient faire Noel LaMontagne dans ce palmarès ? Parce qu’un type de 6 pi 4 po et 301 lb qui s’appelle LaMontagne, ça ne s’invente pas. Il faudrait passer le mot à Mike Babcock la prochaine fois qu’il surnommera Shea Weber « l’homme-montagne ».
1. Jocelyn Noël
Malgré tout notre respect pour les neuf individus mentionnés précédemment, aucun n’a dominé son sport comme l’a fait Jocelyn Noël. Six fois champion provincial, gagnant de 40 900 $ en bourses, selon le site de référence Mini-putt.net. Il a aussi redonné à son sport en étant analyste à la télévision et arbitre. Serge Vleminckx était un excellent descripteur, mais il ne serait pas entré dans la légende si Jocelyn Noël avait réussi des normales plutôt que des biiiiiiiiiiiiirdies !