La mission des grimpeurs qui ont participé aux quarts de finale de la compétition d’escalade extrême Psicobloc Open Series, hier, au Complexe aquatique du parc Jean-Drapeau : défier sans harnais ni protection un mur de 55 pieds. Les demi-finales et la finale auront lieu respectivement à 17 h et à 19 h, aujourd’hui.

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE

Le psicobloc est une forme d’escalade habituellement pratiquée en milieu naturel, en solo et sans sécurité, sur des falaises donnant sur des plans d’eau.

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE

À la fin des duels, les athlètes qui ont résisté à la paroi inversée sont invités à se jeter dans la piscine.

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE

La vitesse de descente à partir du sommet : 60 km/h.

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE

L’athlète russe Stan Kokorin s’accroche aux premières prises de la paroi.

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE

Stan Kokorin exulte à son arrivée au sommet. La semaine dernière, à Tokyo, le grimpeur professionnel a terminé en troisième place.

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE

Les participants se partageront des bourses totalisant 30 000 $. 

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE

Un jeune grimpeur s’amuse en marge de la compétition.

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE

La compétition Psicobloc Open Series s’arrête à Montréal pour la deuxième année.