Dennis «Oil Can» Boyd était sous l'influence de la cocaïne durant la majorité des matchs qu'il a lancé dans le baseball majeur.

C'est ce qu'on apprend dans la biographie de l'ancien lanceur qui s'intitule They Call Me Oil Can: My Life in Baseball.



Boyd a passé huit de ses 10 saisons dans les majeures avec les Red Sox de Boston, avant d'oeuvrer pour les Expos en 1990-91 et les Rangers du Texas en 1991.



Boyd affirme qu'il était sous l'influence de la cocaïne durant au moins les deux-tiers de ses matchs.



Nick Cafardo, du Boston Globe, nous résume l'entrevue que Boyd a donnée à Jon Miller, de WBZ.



Suivis


Des petits suivis d'histoires dont je vous ai parlé, hier. D'abord, Brandon Jacobs, des Giants de New York, s'est excusé publiquement pour les propos qu'il avait tenu la veille au sujet de Gisele Bundchen. Également, l'ancien des Patriots Rodney Harrison n'a pas tellement apprécié de voir Rob Gronkowski danser comme un déchainé dans un bar le soir même de la défaite de l'équipe au Super Bowl.



Les plus détestés


Forbes a publié sa liste des 10 athlètes les plus détestés. Intéressant de voir qu'en peu de temps, plusieurs sur cette liste sont passés des «plus adulés» aux «plus détestés». Comme quoi...



«Sortez-moi d'ici!»


Un top-10 du Hockey News au sujet des joueurs de la LNH qui auraient bien besoin d'un changement d'air.



Récupération


Tout n'est pas perdu lors d'une défaite, aussi crève-coeur soit-elle. En effet, les marchandises des équipes perdantes sont envoyées dans les pays du tiers-monde. Alors quelque part, en Afrique, des gens se promèneront au cours des prochaines semaines avec des chandails et des casquettes qui disent que les Patriots ont remporté le Super Bowl 46.



Faux pas


Un analyste politique de CNN, Roland Martin, a été suspendu pour deux gazouillis jugés offensants envers la communauté gaie qu'il a publié sur Twitter durant le Super Bowl.