Nous avons tous été profondément attristés par l'annonce du décès de Pat Burns, vendredi dernier. Ce n'est pas seulement le Québec qui est en deuil du grand homme, mais tout le monde du hockey.

Un peu partout, dans les médias, les témoignages et les hommages affluent.

Notre collègue, Réjean Tremblay, partage ses souvenirs dans nos pages.

Le New York Times revient sur la carrière de Pat Burns et surtout, bien sûr, sur sa conquête de la Coupe Stanley avec les Devils du New Jersey.

Pierre LeBrun, d'ESPN, explique pourquoi Pat Burns était unique et qu'il n'y en aura jamais un autre comme lui.

Sports Illustrated présente une entrevue avec Michael Farber, aujourd'hui à l'emploi du magazine, mais qui était journaliste à The Gazette lorsque Pat Burns dirigeait le Tricolore. Il nous raconte ses souvenirs de l'homme et de l'entraîneur-chef. Entre autres, une anectode particulièrement cocasse d'une femme qui l'avait assommé avec une dinde congelée alors qu'il était policier.

Red Fisher, dans le National Post, parle particulièrement du combat de Pat Burns contre la maladie. Comment il s'est battu contre ce mortel ennemi.

Pour revoir Pat Burns en images, le Globe and Mail propose une vidéo de sa carrière.

Vous pouvez aussi consulter notre galerie photos.

Quant à moi, je tiens à exprimer mes plus sincères condoléances à la famille de Pat Burns, à ses proches, ses amis, ainsi qu'à tous ceux qui ont eu la chance de connaître et de côtoyer cet homme d'exception.

Au revoir Monsieur Burns!

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Migration vers l'Ouest

Voilà c'est fait! Les Alouettes sont champions de l'Est et ils s'envolent (s'cusez le jeu de mot plate) vers Edmonton, pour y disputer la grande finale du football canadien. Ils y retrouveront les Roughriders de la Saskatchewan pour une reprise de la finale de l'an dernier. Rappelons que les Alouettes l'avaient emporté de justesse sur le dernier jeu du match, alors que Damon Duval avait réussi un placement pour la victoire à sa deuxième tentative, après que les Riders eurent écopé d'une punition pour avoir mis trop d'hommes sur le terrain. Pour les champions en titre, ce sera une troisième présence à la finale de la Coupe Grey en autant d'années sous la gouverne de Marc Trestman. Les Alouettes n'ont jamais remporté le précieux trophée deux années de suite dans leur histoire.

Mon collègue Miguel Bujold présente son analyse de la finale de l'Est disputée, hier, devant plus de 58 000 personnes au Stade olympique de Montréal.

Les Alouettes sont-ils simplement trop bons? C'est la question que se pose Stephen Brunt, du Globe and Mail.

Bruce Arthur, du National Post, parle également de la domination complète des Alouettes dans l'Est. L'entraîneur-chef des Argonauts, Jim Barker, a d'ailleurs eu ce commentaire au terme du match: «Il n'y a aucune excuse. Nous devons emmener notre équipe au niveau où se trouvent les Alouettes. Nous savons quels sont les standards. Ce n'était pas une question d'efforts, mais plutôt que nous n'étions pas du même calibre [...] C'est un début pour nous, et non une fin.»

Consultez notre galerie photos de la finale de l'Est.

Photo: Robert Skinner, La Presse

Les Alouettes n'ont fait qu'une bouchée des Argonauts de Toronto devant 58 021 spectateurs, dimanche, au Stade olympique.

Le King

Pour un résumé complet de tout ce que vous devez savoir sur le dernier week-end dans la NFL, il faut absolument lire la chronique «Monday Morning QB», de Peter King.

Une finale à la maison

Ça n'a pas été facile, mais le Rouge et Or de l'Université Laval est parvenu à se défaire des Mustangs de Western Ontario, samedi dernier, pour remporter la Coupe Uteck et se mériter une place à la finale de la Coupe Vanier, qui sera disputée pour une deuxième année de suite à Québec. Ce sera la première fois, cependant, que le Rouge et Or disputera la finale devant ses partisans dans la Vieille Capitale. La puissante machine du Rouge et Or recevra donc les Dinos de l'Université de Calgary au PEPS, samedi prochain, à 11h45.

Pardon

Il est grand temps de pardonner Michael Vick, qui a plus que payé pour ses erreurs, affirme Rick Reilly, d'ESPN.