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Quartz Co. lance une collection signée Marie-Ève Lecavalier

La marque de manteaux d’hiver haut de gamme Quartz Co. s’associe à Marie-Ève Lecavalier, qui vient de remporter le prix de créateur de l’année, mode féminine aux Canadian Art & Fashion Awards (CAFA). Habituée aux honneurs à l’étranger, Marie-Ève Lecavalier avait remporté le prestigieux prix Chloé du festival d’Hyères en 2018 et elle était finaliste du prix LVMH en 2019.

  • Manteau Sundance, 1399 $

    PHOTO ÉTIENNE SAINT-DENIS, FOURNIE PAR QUARTZ CO.

    Manteau Sundance, 1399 $

  • Manteau Saint-Moritz, 1299 $

    PHOTO FOURNIE PAR QUARTZ CO.

    Manteau Saint-Moritz, 1299 $

  • Veste Blackcomb, 999 $

    PHOTO FOURNIE PAR QUARTZ CO.

    Veste Blackcomb, 999 $

  • Veste noire Aspen, 999 $

    PHOTO FOURNIE PAR QUARTZ

    Veste noire Aspen, 999 $

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La collection après-ski est composée de sept pièces qui sont offertes en bleu royal, en noir et en avoine. On remarque tout de suite le manteau volumineux en duvet avec ceinture, qui est impressionnant. « J’ai joué avec la forme, le volume, les coupes, certaines oversized, mais je suis restée dans l’esprit de Quartz Co. qui est une marque au style élégant, épuré et pratique, explique Marie-Ève Lecavalier. Je me suis demandé ce que je pouvais apporter de différent, car le milieu du manteau d’hiver est très compétitif. Il y a beaucoup de marques très fortes et il faut se démarquer. » La collection comprend aussi un manteau long matelassé ainsi qu’une veste plus légère, un manteau-chemise avec revers, un gilet d’inspiration militaire, une veste sans manches et un pantalon de neige zippé.

PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE

La designer Marie-Ève Lecavalier dans la boutique de Quartz Co. dans le Mile End

Pour créer cette collection, Marie-Ève Lecavalier s’est inspirée des grands couturiers européens et des origines luxueuses de l’après-ski. « Je me suis inspirée des manteaux couture de Balenciaga des années 1960. Le style est très enveloppant, les manteaux ont des propriétés techniques pour résister au froid. Ils sont légers et très chauds, agréables à porter, ce qui est important quand on achète un manteau d’hiver », estime la designer.

« J’ai créé des coupes et des silhouettes qu’on ne retrouvait pas sur le marché actuellement. Alors en tant que femme, j’ai conçu des manteaux d’hiver que j’aimerais porter. » La campagne visuelle est, elle aussi, très européenne, et fait référence à l’histoire des belles stations de ski luxueuses comme Saint-Moritz et Verbier.

Cette collection pour Quartz Co. est aussi une manière de célébrer les 25 ans de la marque. « Quartz Co. a été fondée en 1997. On a racheté la marque en 2015, il y avait déjà un savoir-faire sur les matières et depuis sept ans, on a effectué des changements esthétiques. On marque le coup avec cette collaboration qui nous sort de nos habitudes en créant de nouvelles silhouettes », explique Jean-Philippe Robert, président de Quartz Co. Est-ce qu’elle se renouvellera les années suivantes ? « On veut voir la réaction du public, on pense qu’elle sera très positive, car on sent qu’il y a déjà un engouement », dit-il.

L’ensemble de la collection est offert dès le 1er novembre en ligne puis dans les boutiques Quartz Co. ainsi qu’à la Maison Simons et à Altitude Sports.

Olivia Lévy, La Presse

Consultez le site de Quartz Co.

Ouverture : BEDI s’installe dans le Mile End

  • Inder Bedi, fondateur de la marque BEDI, anciennement appelée 457 Anew

    PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE

    Inder Bedi, fondateur de la marque BEDI, anciennement appelée 457 Anew

  • Des ceintures supportent les manteaux au centre du magasin, un clin d’œil aux pratiques de surcyclage de la marque.

    PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE

    Des ceintures supportent les manteaux au centre du magasin, un clin d’œil aux pratiques de surcyclage de la marque.

  • L’ancienne identité (457 Anew), conçue autour de la numérologie, demeure présente.

    PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE

    L’ancienne identité (457 Anew), conçue autour de la numérologie, demeure présente.

  • De nombreux modèles de sacs sont offerts.

    PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE

    De nombreux modèles de sacs sont offerts.

  • La devise de Bedi : « Un jour, ce qui était, sera de nouveau. »

    PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE

    La devise de Bedi : « Un jour, ce qui était, sera de nouveau. »

  • La nouvelle boutique a pignon sur rue dans le Mile End.

    PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE

    La nouvelle boutique a pignon sur rue dans le Mile End.

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BEDI, anciennement 457 Anew, a désormais pignon sur rue à Montréal. La marque de manteaux, vêtements et accessoires axée sur la réutilisation des matières et sur leur durabilité est le projet dans lequel s’est investi l’entrepreneur Inder Bedi après son départ de Matt & Natt qu’il avait fondée.

Après trois ans à vendre presque exclusivement en ligne, BEDI s’est installée dans un local du boulevard Saint-Laurent, dans le Mile End, un quartier qu’affectionne Inder Bedi. Au centre de l’espace, pensé par la firme Rainville Sangaré, trônent, en suspension, les manteaux qui sont, avec les sacs, les produits phares de la marque. Celle qui a changé de nom l’été dernier pour gagner en simplicité propose désormais trois modèles de manteaux pour hommes et trois pour femmes. Tous sont fabriqués au Québec, à partir d’ECONYL, un nylon obtenu par le recyclage de filets de pêche, et de l’isolant ISOSOFT qui permet d’affronter les froides températures jusqu’à -30 °C.

Aux murs est accrochée la grande sélection de sacs (fourre-tout, sac à dos, de voyage, messager et sacoches) faits d’ECONYL ou de cuir de cactus ainsi que de polyester recyclé et de ceintures issus de l’industrie automobile et de l’aviation. Certains sont fabriqués à partir de fins de rouleaux de tissu prévus pour la confection de manteaux. T-shirts, pantalons et chandails molletonnés en coton des États-Unis complètent l’offre. « Un jour, ce qui était, sera de nouveau », voici le joli mantra de cette marque à contre-courant.

5432, boul. Saint-Laurent

Valérie Simard, La Presse

Consultez le site de Bedi

Une nouvelle collection de Tissées serrées des sœurs Dufour-Lapointe

PHOTO FOURNIE PAR TISSÉES SERRÉES

Tissées serrées comprend maintenant une gamme pour filles de 3 à 14 ans.

Les skieuses acrobatiques Justine, Chloé et Maxime Dufour-Lapointe lancent une nouvelle collection de leur marque Tissées serrées et ajoutent une gamme pour les jeunes filles. La nouvelle collection est composée de couches de base en laine de mérinos et laine polaire, de jolies vestes sherpas, de tricots au style rétro et d’accessoires comme des tuques, cache-cou, chapeaux et chaussettes. La marque Tissées serrées s’adresse aussi désormais aux filles de 3 à 14 ans qui aiment le plein air et être au chaud ! Elle est offerte dans les principales boutiques de sport, comme Sports Experts et La Cordée, ainsi que chez Womance et Altitude Sports.

Olivia Lévy, La Presse

Consultez le site des sœurs Dufour-Lapointe

PHOTO TIRÉE DU SITE ECO-FINO.COM

Ce bottillon ARTEMIS en blanc est fabriqué en cuir de cactus. Il coûte 248 $.

Du cuir de cactus

Ecofino, marque développée par Chaussures Portofino à Québec, est la première entreprise d’ici à lancer une collection de chaussures en cuir de cactus. Les plantes qui servent à produire ce type de cuir sont cultivées au Mexique. Seules les feuilles matures sont utilisées, ce qui ne causerait aucun dommage au cactus. Les designs sont conceptualisés à Québec et les chaussures, fabriquées par une entreprise familiale en Espagne. Outre le bottillon lacé qui est proposé en quatre couleurs (blanc, noir, vert et rouge), il y a une chaussure de style tennis et trois modèles de sandales.

Ève Dumas, La Presse

Consultez le site d’Ecofino