Le Monstre, manège emblématique de La Ronde, attire les foules depuis 1985. Avant la fin d’une longue hibernation, une panoplie d’inspecteurs et de mécaniciens doivent mettre la main à la pâte pour s’assurer que tout est fonctionnel et sûr. Visite au cœur de la bête endormie.

PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE

Le manège est constitué de deux types de bois : le pin jaune d’Amérique et le sapin de Douglas. Dans les deux cas, le bois est soumis à des traitements spéciaux qui assurent son intégrité dans le temps.

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La première descente peut atteindre des vitesses entre 95 km/h et 104 km/h selon les conditions météorologiques.

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Maxime Ouimet, menuisier, participe à l’entretien du Monstre.

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Le pilier central pourvu de chaînes qui servent à retenir la structure

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Jocelyn Mondoux, mécanicien sur le Monstre

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Francis Girouard, directeur de l’entretien et de la construction à La Ronde, contemple la vue après avoir fait l’ascension à pied.

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La chaîne, pièce centrale du manège, fait plus de 650 pi de long

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Le directeur de l’entretien indique où le train se désengage de la chaîne une fois au sommet, alors qu’il commence son trajet dans le parcours par gravité jusqu’à son retour en station.

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René Duperon, mécanicien sur le Monstre, fait des travaux d’entretien sur une voiture dans le garage intérieur.

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Francis Girouard nous montre les mailles de la chaîne où vient s’accrocher le train pour être entraîné dans la remontée mécanique.