Pour reprendre notre souffle, faire le plein d’énergie ou encore nous offrir un moment de réflexion, voici la rubrique... qui fait du bien !

Montréal joue : c’est le temps de s’amuser !

Le jeu s’affirme maintenant sans aucun complexe et Montréal joue, le plus grand événement ludique au Québec, en est la preuve. La manifestation, qui en est à sa huitième édition, commence samedi et se termine le dimanche 8 mars, avec pas moins de 300 activités ludiques déployées à travers la ville. L’an dernier, ce sont plus de 63 000 personnes qui se sont prêtées au jeu sous toutes ses formes. Cette année, on espère en attirer encore davantage, notamment avec le Grand Événement Montréal joue, qui se déroulera les 7 et 8 mars au Théâtre Paradoxe et qui unira jeux de société et jeux vidéo, de même qu’avec la Nuit blanche à la Grande Bibliothèque, le 29 février, qui proposera de parcourir l’histoire grâce à des expositions interactives, des projections et des compétitions de sport électronique. Outre les ateliers professionnels sur le jeu, les spectacles d’improvisation ou les séances de conception de jeux vidéo, les festivaliers pourront s’aventurer dans une bibliothèque hantée, participer à une chasse au trésor dans le Quartier latin, découvrir des jeux de société originaux créés par des auteurs d’ici ou même participer le week-end prochain au festival Draconis, plus grand rassemblement de jeu de rôle sur table au Québec.

— Pierre-Marc Durivage, La Presse

Méditation et hydrothérapie

PHOTO FOURNIE PAR LE SCANDINAVE SPA VIEUX-MONTRÉAL

L’effet d’entraînement du groupe a aussi pour effet d’inciter plus de gens à oser l’immersion complète dans le bassin froid.

Le Scandinave Spa Vieux-Montréal s’est mis à la méditation il y a un an, pour constater que cette pratique n’est pas si évidente pour le commun des mortels ! Le spa a donc décidé d’ajuster sa formule pour y inclure un cycle d’hydrothérapie complet. L’état méditatif serait atteint plus facilement grâce à la détente que procurent les bains. L’effet d’entraînement du groupe incite ainsi plus de gens à oser l’immersion complète dans le bassin froid. L’expérience se fera en petits groupes de 15 personnes maximum, guidés par Scott Simons, président d’Organik Santé Corporative. Les prochaines séances se tiendront le 25 février, le 4 mars et le 18 mars prochains. Il est évidemment possible de jumeler un bloc de trois heures d’hydrothérapie et/ou un massage à l’activité.

— Ève Dumas, La Presse

Uniques grâce à nos différences

IMAGE FOURNIE PAR LES ÉDITIONS LES MALINS

Pauline (la lapine sans queue), texte et illustrations de Cara Carmina, collection Les Lapins malins, Éditions Les Malins

Pauline, une petite lapine, est née sans queue. « N’oublie jamais que nos différences nous rendent uniques, lui dit sa maman. Et moi, je t’aime comme tu es ! » À l’école, c’est une autre histoire : le moindre poil qui dépasse (ou ne dépasse pas, dans le cas de Pauline) dérange les camarades. Tous se moquent de Pauline, jusqu’à ce qu’ils découvrent que sa petitesse peut être un atout. Mignon à souhait, cet album de la Montréalaise d’origine mexicaine Cara Carmina fourmille de petits détails. C’est chou, comme une queue de lapin.

Pauline (la lapine sans queue), texte et illustrations de Cara Carmina, collection Les Lapins malins, Éditions Les Malins. Dès 5 ans.

— Marie Allard, La Presse

Un 35e DVD pour Josée Lavigueur

IMAGE FOURNIE PAR MUSICOR

28 jours pour un corps plus ferme – L’ultime

Josée Lavigueur lance cet hiver son 35e DVD, 28 jours pour un corps plus ferme – L’ultime. Elle propose un défi de quatre semaines, six jours sur sept. Chaque séance d’entraînement (de 21 à 42 minutes) est composée d’un échauffement, de deux ou trois capsules de musculation (abdominaux, fessiers, cuisses et bras) et d’une séance d’étirement. Une séance sur deux inclut également un entraînement cardiovasculaire en danse aérobique. Vous êtes plus du type bootcamp, yoga ou pilates ? Depuis 2018, Josée Lavigueur propose Ma Zone Fit, un projet web qui offre des entraînements variés présentés par 12 coachs différents.

— Catherine Handfield, La Presse