Vous voyez les signatures de nos journalistes, éditorialistes, photographes et chroniqueurs. Or, des dizaines d’artisans de l’ombre travaillent chaque jour à soutenir le journalisme de qualité. Ils sont aux finances, aux ventes ou à la technologie et ont tous à cœur la mission de La Presse. Faites connaissance avec Romain Côté, analyste d’affaires depuis 10 ans et fidèle lecteur depuis « presque 40 ans »!

Son travail

« Mon travail consiste en résumé à servir d’intermédiaire entre les utilisateurs internes, principalement ceux à la rédaction, et les développeurs qui travaillent sur les systèmes qui servent à développer chaque jour les contenus publiés sur les différentes plateformes. Je dois identifier les besoins et les opportunités et réfléchir à des solutions. En quelque sorte, face à l’utilisateur, je représente le développeur et, face au développeur, je représente l’utilisateur. »

Ce qui le rend fier

« Je sens que je fais quelque chose d’utile pour la société. Tous les matins, 7 jours par semaine, même pendant mes vacances et ce, au désespoir de ma conjointe, je lis La Presse. J’ai besoin de cette lecture pour me sentir un citoyen du monde. Y travailler est pour moi participer à donner aux citoyens du Québec ce sentiment; c’est aussi contribuer à faire circuler l’information si importante, surtout en cette époque où les fausses nouvelles prennent de plus en plus de place dans notre quotidien.

Je suis aussi très fier d’avoir pu contribuer à la grande aventure de la transformation de La Presse vers le numérique.

La Presse est une institution. Je suis fier de travailler pour une entreprise connue de tous. J’aime les possibilités dans ce travail. Nous sommes constamment en train de faire évoluer le produit, mais aussi les systèmes qui permettent de produire le contenu, de l’organiser et d’en faire une édition, tout en cherchant continuellement à augmenter la productivité. »

Sa passion pour l’information

« Mon père a été journaliste (il fut même de l’équipe éditoriale du Globe and Mail!) avant de réorienter sa carrière en relations publiques alors que j’étais très jeune. Mais l’information est demeurée une religion pour lui et, par ricochet, probablement pour moi aussi. On recevait à la maison quatre ou cinq quotidiens.

Je lis donc La Presse depuis…. presque 40 ans. Enfant je ne m’intéressais qu’à La Petite Presse (section complète de La Presse du samedi avec uniquement des bandes dessinées!), mais je me suis peu à peu intéressé aux autres sections (Sports, Actualités, Arts, etc.).

Même si je n’ai pas étudié en journalisme ni dans un domaine connexe, j’ai toujours été attiré par les médias et l’information en général. J’ai fait beaucoup de radios étudiantes à l’Université, surtout pour m’amuser, mais j’y ai alors côtoyé beaucoup de gens qui ont ensuite fait carrière dans les médias. J’aimais beaucoup l’énergie qui animait ces personnes et travailler pour La Presse m’a permis de retrouver cette vibe.

Avant de travailler pour La Presse, j’ai travaillé sur de nombreux projets web et numériques pour différentes sociétés et paliers gouvernementaux. Les projets qui m’allumaient le plus étaient toujours ceux axés sur la diffusion de contenus. »