Vous voyez les signatures de nos journalistes, éditorialistes, photographes et chroniqueurs. Or, des dizaines d’artisans de l’ombre travaillent chaque jour à soutenir le journalisme de qualité. Ils sont aux finances, aux ventes ou à la technologie et ont tous à cœur la mission de La Presse. Faites connaissance aujourd'hui avec Pascal Gill, directeur développement back-end pour Nuglif.

Son travail

« Dans mon rôle au niveau de l'architecture de solution, mon travail consiste à aider La Presse à mettre en place des solutions qui correspondent aux objectifs et aux besoins. J'aime considérer mon travail comme un travail de facilitateur. Certains enjeux nécessitent qu’on les décortique et qu’on prenne le temps de réfléchir à la meilleure réponse. À d’autres moments, les équipes de réalisations ont besoin d’un appui immédiat pour prendre des décisions rapidement.

Dans ce boulot, j’apprends constamment. Ce qui me motive, c’est d’aider mes collègues à connaître des succès. J’aime également être entouré de gens sincères qui ont envie de réussir et de sortir des sentiers battus. »

Pourquoi il a choisi ce métier

« Dans le temps où l'on devait se lever pour changer le poste de télévision, mon grand frère a gagné un ordinateur dans un concours de dessin. C'était un TI-99. Par la suite, nous avons eu un TRS-80, puis un Tandy 1000. Il a fait son cours en informatique. Ça m'apparaissait intéressant, alors j’ai décidé de faire comme lui. J'aurais pu faire n'importe quoi qui implique de résoudre des problèmes, de machiniste à électrotechnicien. Mais j’ai préféré l’informatique. »

L’évolution de la technologie

« Les technologies évoluent de plus en plus rapidement. Avant, nous pouvions maîtriser l'ensemble des technologies d'un système, aujourd'hui ça devient vite complexe. Il faut développer des liens de confiance avec nos pairs pour y arriver et travailler ensemble en fonction de nos forces et de nos faiblesses. Parce qu’il devient de plus en plus important de permettre à La Presse de changer de cap rapidement et facilement. »

Son talent caché

« J'ai appris à faire de l’unicycle à l'âge de 5 ans. N'ayant pas de modèle pour ma grandeur, mon père en a fabriqué un avec la roue avant d'un tricycle pour enfant, avec un siège monté sur une fourche de BMX. Quelques années plus tard, mon frère et moi avons eu l'idée de mettre des pédales « à clip » sur nos unicycles! Nous avons fait de la course, sauté à la corde à danser, joué à la tag… Je suis aujourd’hui particulièrement bon pour détacher mes pieds des pédales « à clip » à vélo! »