Chaque semaine, les journalistes et les chroniqueurs de La Presse se dévoilent et nous racontent les dessous de leur métier. Cette semaine, Hugo Dumas nous parle de ce qui l’a amené à choisir le métier de journaliste et de son rôle de chroniqueur spécialisé en télévision.

La Presse : Comment avez-vous découvert que vous vouliez devenir journaliste?

Hugo Dumas :  J’adorais déjà lire et écrire quand j’étais tout petit. Il y avait quelque chose de magique dans les mots. Aussi, mon père était journaliste sportif à Québec. Il m’arrivait de l’accompagner à son travail. La fébrilité, l’adrénaline qui se dégagent d’une salle de rédaction, c’est ça qui me captivait et je l’ai trouvé à La Presse. Aujourd’hui, je suis tout aussi passionné qu’à mes débuts!

LP : Qu’est-ce qui vous a conduit à écrire des chroniques et à vous spécialiser en télé?

HD : À mes débuts, j’ai couvert les faits divers et les sports pendant plusieurs années. C’est là que j’ai appris les rudiments du journalisme. J’ai saisi une occasion pour couvrir le monde de la culture dès qu’elle s’est présentée. La scène culturelle d’ici a toujours été foisonnante; je prends plaisir à en parler et à la faire découvrir à tous nos lecteurs.

Avec le star-système qu’on a au Québec, la télé est un média très rassembleur. Les gens aiment parler, lire des comptes-rendus et des analyses au sujet de ce qui passe au petit écran. Aujourd‘hui, avec les réseaux sociaux, on a en plus le privilège de pouvoir échanger avec nos lecteurs.

LP : Est-ce qu’une critique négative peut tuer une télésérie?

HD : Je ne pense pas. Souvent, ça va même susciter une certaine curiosité chez les lecteurs qui veulent constater par eux-mêmes. En même temps, nous ne sommes pas là pour être des majorettes et dire que tout est bon. On a la responsabilité d’être honnête envers nos lecteurs.

Le journalisme de qualité est au cœur de la mission de La Presse. Nous comptons entre autres sur les contributions des lecteurs pour nous soutenir. Nous avons bon espoir d’atteindre, à terme, notre grand objectif de 5 000 000 $ par année, soit 42 000 lecteurs qui versent de façon récurrente 10 $ par mois.

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