Maintenant que la campagne électorale est lancée, nous allons entendre parler de Marcel Proulx. Comme toujours, ce bon monsieur reste bien tranquille pendant son mandat quand il est question d'enjeux dans sa circonscription de Hull-Aylmer. Mais quand le temps des élections apparaît, on le voit alors sur les affiches.

Maintenant que la campagne électorale est lancée, nous allons entendre parler de Marcel Proulx. Comme toujours, ce bon monsieur reste bien tranquille pendant son mandat quand il est question d'enjeux dans sa circonscription de Hull-Aylmer. Mais quand le temps des élections apparaît, on le voit alors sur les affiches.

Lors du mandat précédent, M. Proulx distribuait des petits prospectus faisant état des belles choses que son gouvernement accomplissait, sans émettre un seul mot sur les siennes. Aujourd'hui, les choses ne semblent pas avoir changé, bien qu'il ait l'excuse facile d'être assis du côté de l'opposition. On le verra peut-être bien sur quelques photos de groupe, concernant des dossiers que d'autres auront mené.

On ne peut pas trop le blâmer, car les coupables sont ceux qui lui accordent leur confiance à chaque élection.

Mais à bien y penser : que risque-t-on en élisant autre chose qu'une étiquette de parti ? Pire que... rien ?

Jean-Marc Lamothe,

Gatineau