Vous connaissez l'édifice centenaire longeant le boulevard Alexandre-Taché, l'ancienne E.B. Eddy, dont les murs sont soutenus par des poutres d'acier et des grillages. La Domtar aurait aimé tout démolir, ne pouvant le faire elle nous laisse un sarcophage vide. Domtar a commis un génocide patrimonial en détruisant les deux machines à papier qui y dormaient, ronflant sous une poussière centenaire. Même les majestueux cuviers en lattes de bois se sont frappés aux dents de l'ogre. La 1 fonctionnait uniquement à la vapeur. La 2 marquait le début des contrôles électrique. Deux merveilleux monuments en état de fonctionner, le début de l'ère industrielle de notre région. Quoi de plus intéressant pour un secteur voué à l'histoire et aux musées. Le sarcophage est vide, pillé par les affairistes immoraux de la Domtar qui s'en foutait.

Vous connaissez l'édifice centenaire longeant le boulevard Alexandre-Taché, l'ancienne E.B. Eddy, dont les murs sont soutenus par des poutres d'acier et des grillages. La Domtar aurait aimé tout démolir, ne pouvant le faire elle nous laisse un sarcophage vide. Domtar a commis un génocide patrimonial en détruisant les deux machines à papier qui y dormaient, ronflant sous une poussière centenaire. Même les majestueux cuviers en lattes de bois se sont frappés aux dents de l'ogre. La 1 fonctionnait uniquement à la vapeur. La 2 marquait le début des contrôles électrique. Deux merveilleux monuments en état de fonctionner, le début de l'ère industrielle de notre région. Quoi de plus intéressant pour un secteur voué à l'histoire et aux musées. Le sarcophage est vide, pillé par les affairistes immoraux de la Domtar qui s'en foutait.

L'ogre n'étant pas encore rassasié, il licencie des centaines d'employés et ferme une machine à papier moderne et rentable, la 14. Étrange, pourrions-nous dire que la Domtar a fait un travail commandé par une plus haute instance ?