La liste:-1:liste; la boite:4377420:box; tpl:html.tpl:file

Treizième palmarès des urgences :
tableau et carte interactive

Quelles sont les urgences du Québec qui brillent et lesquelles sont les cancres? La Presse trace le bilan des urgences chaque année à partir de différents chiffres dûments compilés par le ministère de la Santé. Les meilleurs élèves obtiennent un A et les pires, un D.

NOTES

Équipe

  • Reporter : Sara Champagne
  • Chef de production web : Thomas de Lorimier
  • Intégrateur : Michael Sanchez

Trier par qualité du service des urgences :

  • S'améliore

  • Se
    détériore

  • Reste
    Stable

Légende

  • Entre A et A-

  • Entre B+ et B-

  • Entre C+ et C-

  • Entre D+ et D-

Aucun résultat pour la recherche trouvé

Chargement en cours...veuillez patienter

2017 à 2018 Hôpitaux 2016 à 2017 durée moyenne du séjour séjours de 48 h et + patients de 75 ans et + Hospita-lisations patients ambulatoires patients sur civières

Notes

1. La note finale tient compte de quatre critères : la durée moyenne du séjour (nombre d'heures passées aux urgences) ; le pourcentage de séjours de 48 heures ou plus ; le pourcentage de personnes âgées de 75 ans ou plus qui se présentent ; le pourcentage de cas sur civière qui requièrent une hospitalisation. Les données sont celles de l'année 2017-2018 du ministère de la Santé et des Services sociaux. La méthodologie, établie par La Presse, a été ajustée au fil des ans. Les hôpitaux sont classés de A à E+ selon leur performance. La note finale est établie sur 30. Les deux premiers critères (durée moyenne du séjour et séjours de 48 heures) sont les plus importants. Ils comptent pour un total de 20 points. Les deux autres (pourcentage de personnes âgées de 75 ans ou plus et pourcentage d'hospitalisation) comptent pour un total de 10 points. Ils reflètent la gravité des cas aux urgences et pondèrent la note. Les points obtenus correspondent à une lettre. Les meilleures urgences obtiennent A et les pires, E+.

2. Le palmarès 2018 a été conçu afin qu'il soit comparable à celui de l'an dernier.

3. Durée moyenne du séjour
C'est le nombre d'heures que le patient passe sur une civière aux urgences avant d'obtenir son congé, d'être hospitalisé dans une chambre ou d'être orienté ailleurs. C'est l'un des principaux critères utilisés par le ministère de la Santé et des Services sociaux pour évaluer l'efficacité des urgences. Le Ministère vise une moyenne de 12 heures maximum.

4. Séjours de 48 heures et plus
Il s'agit d'un critère important pour le ministère de la Santé et des Services sociaux. Il tient compte du pourcentage de personnes qui doivent passer 48 heures ou plus sur une civière aux urgences avant d'obtenir leur congé ou d'obtenir une chambre.

5. Personnes âgées de 75 ans et plus
Le vieillissement de la population contribue à alourdir la tâche aux urgences. Le pourcentage de personnes âgées de plus de 75 ans est un indicateur de la gravité des cas. Les hôpitaux où le nombre de personnes âgées sur civière est élevé sont souvent plus débordés. Nous en avons tenu compte dans la note finale.

6. Pourcentage d'hospitalisations
Voici un autre facteur qui contribue à alourdir la tâche. C'est un indicateur de la gravité des cas qui arrivent aux urgences. Un hôpital où un grand nombre de patients sur civière attendent d'être hospitalisés fait face à un défi supplémentaire. On doit trouver un lit dans l'hôpital. Tant qu'il n'y en a pas, le patient demeure aux urgences. Nous en avons tenu compte dans la note finale.

7. Nombre de patients ambulatoires
Ce sont les patients qui se présentent aux urgences, mais qui n'ont pas besoin d'être couchés sur une civière. Ils ont souvent des problèmes plus bénins. Ces données n'ont qu'une valeur indicative, car les établissements ne sont pas tenus de les fournir au Ministère.

8. Nombre de patients sur civière
Les patients sur civière sont des cas plus lourds. Certains arrivent en ambulance, d'autres par leurs propres moyens. Un certain nombre d'entre eux devront être hospitalisés.

9. Catégories d'hôpitaux
Les hôpitaux universitaires ont une mission de soins spécialisés, de recherche et d'enseignement. Ils reçoivent des patients de partout. Il s'agit des cas les plus graves, qui nécessitent des soins complexes. Les hôpitaux à mission régionale sont les hôpitaux de référence d'une région. Ils reçoivent souvent des patients en provenance d'hôpitaux plus petits, par exemple en traumatologie, à la suite d'un accident grave. Nous avons réparti les autres hôpitaux selon le nombre de patients sur civière qu'on y compte annuellement.

Donnéeees non disponibles : Certains hôpitaux ne figurent pas dans ce palmarès, soit parce que les données n'étaient pas disponibles, soit parce qu'ils n'ont pas suffisamment d'hospitalisations. Les inclure aurait faussé les données. Les hôpitaux à vocation unique, comme les hôpitaux psychiatriques, les hôpitaux pédiatriques, l'Institut de cardiologie de Montréal et l'Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec ont également été exclus puisque leur situation est différente.

* C'est la première année d'exploitation du « nouveau » CHUM intégré. En conséquence, on ne peut pas comparer cette année à l'an dernier, car les données étaient inexistantes. Les données sont aussi celles d'une année partielle, car le CHUM a ouvert ses portes en octobre 2017.

** L'hôpital Saint-Luc du CHUM est fermé depuis le 8 octobre 2017. Les données sont donc celles d'une année partielle.

*** L'Hôtel-Dieu du CHUM est fermé depuis le 5 novembre 2017. Les données sont donc celles d'une année partielle.

**** L'hôpital Notre-Dame du CHUM est fermé depuis le 26 novembre 2017. Les données sont donc celles d'une année partielle.

***** L'hôpital Notre-Dame se retrouve maintenant dans la catégorie « - 10 000 civières ». Cet hôpital ne fait plus partie du CHUM. Il fait maintenant partie du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) du Centre-Sud-de-l'Île-de-Montréal.