Armoire en coin, lingerie ou bibliothèque peuvent, en bout de course, tenir lieu de cercueil, s'il n'en tient qu'à J'en meurs d'en vie, une entreprise de Sainte-Lucie-des-Laurentides dirigée par Louis Goulet.

Les proches peuvent faire incinérer la dépouille après quelques jours d'exposition et récupérer le meuble, ou encore mettre en terre le défunt dans ce cercueil. Les meubles satisfont aux exigences des salons funéraires et des cimetières.

Les complices: l'ébéniste Jean-Luc Boivin, l'artisan ornementaliste Mathieu Patoine et le sculpteur Roch Lanthier.

www.jenmeursdenvie.com

819-326-5140