Ce sont des écrans lumineux, montés sur plateformes et au-dessous desquels sont fixées des tubes fluorescents. «Je mets deux ou quatre ampoules selon la largeur de l'écran. Il a fallu d'abord créer la technique. Maintenant, un tableau de 2 pieds sur 4 pieds pèse environ 7 kilos», explique-t-il.

Ce sont des écrans lumineux, montés sur plateformes et au-dessous desquels sont fixées des tubes fluorescents. «Je mets deux ou quatre ampoules selon la largeur de l'écran. Il a fallu d'abord créer la technique. Maintenant, un tableau de 2 pieds sur 4 pieds pèse environ 7 kilos», explique-t-il.

Après quelques années d'exploration, de travail avec la peinture et le collage, M. Benghozi a su intéresser le festival Montréal en lumière. L'événement s'associe à l'exposition, qui présentera une bonne partie de ses oeuvres entre le 15 et le 26 février au Centre d'art Amherst. Il participe également à la Nuit blanche, le 25 février.

En 1980, Guy Benghozi s'est associé avec quelques créateurs de meubles pour lancer un nouveau concept de boutique de meubles: Dix Versions. C'est dans son atelier, dans l'arrière-boutique, qu'il s'est consacré à la création de lampes pour la chaîne de magasins.

Aujourd'hui, ses oeuvres sur panneaux vont de la peinture sur toile à la création de mobiles et de sculptures faites de pièces recyclées. Il combine l'acrylique, le bois, le métal, le verre et la peinture en aérosol. Ses tableaux sont modernes. Il choisit de petites pièces qu'il peint avant de les coller sur un panneau. Cela donne un aspect de profondeur au tableau, une sorte de dimension 3D. L'effet est décuplé par les éclairages.

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Exposition de Guy Benghozi au Centre d'art Amherst, au 1000, rue Amherst, du 15 au 26 février, dans le cadre de Montréal en lumière.