On peut couper et laisser sur place les tiges ou inflorescences mortes jugées inesthétiques, plutôt que de les mettre dans le bac à compost ou de les jeter.

Chaque fois qu'on «exporte» de la matière organique du jardin, «il faut remettre de l'engrais ou du compost pour compenser», affirme Michel Renaud dans L'autocompostage, une méthode révolutionnaire pour composter sans effort (Bertrand Dumont éditeur).

Ce travail nous est épargné avec l'autocompostage, la dégradation sur place des brindilles, feuilles mortes et fleurs fanées.

Le sol conserve ainsi ses éléments et il s'enrichit du carbone puisé dans l'atmosphère par la photosynthèse.