Nouvelle déception: l’échinacée «Double Decker». Original, le nouveau cultivar qui s’est fait connaître, il y a quatre ans, grâce à une deuxième touffe de pétales censée apparaître au centre de la fleur au cours de l’été, n’a manifestement pas tenu ses promesses. Il s’est pourtant vendu comme des petits pains chauds.

Nouvelle déception: l’échinacée «Double Decker». Original, le nouveau cultivar qui s’est fait connaître, il y a quatre ans, grâce à une deuxième touffe de pétales censée apparaître au centre de la fleur au cours de l’été, n’a manifestement pas tenu ses promesses. Il s’est pourtant vendu comme des petits pains chauds.

 Cette saison, aucune tige parmi les quelques dizaines de plants qui poussent dans mes platebandes n’a donné de fleurs doubles. Deux ou trois pétales, tout au plus, ont émergé ça et là du gros bouton central.

 Déjà en 2005, l’année suivant leur introduction au jardin, j’avais constaté que le phénomène du dédoublement des pétales était très inégal d’une plante à l’autre. L’an dernier, la chose s’était encore accentuée, un phénomène attribuable vraisemblablement au patrimoine génétique instable.

 Déception donc, car sans son pompon bien particulier, «Double Decker» ne possède aucun trait distinctif des autres membres de la famille.