Pour certains propriétaires, il s'agit d'une calamité difficile à éviter si ce n'est en faisant jouer des enregistrements d'oiseaux en détresse (offerts notamment au Centre de la conservation de la faune ailée, rue Marseille, à Montréal).

Pour certains propriétaires, il s'agit d'une calamité difficile à éviter si ce n'est en faisant jouer des enregistrements d'oiseaux en détresse (offerts notamment au Centre de la conservation de la faune ailée, rue Marseille, à Montréal).

Chez moi, depuis une bonne semaine, les étourneaux s'ébrouent le jour dans les grands arbres tout autour de la maison dans une cacophonie totale que j'aime beaucoup. Bruits d'automne. Mais ils vont faire dodo ailleurs, ce qui évite que le terrain ne soit transformé en plancher de poulailler.

Visite furtive aussi de plusieurs parulines, de roitelets et de bruants à gorge blanche, ces petits «frédéric» qui sont parfois une dizaine à s'activer en même temps autour de mon bassin d'eau. Deux colibris se sont attardés, lundi, dans mon jardin, possiblement les oiseaux-mouches de Raymond Cayouette.

Et quel bonheur d'entendre depuis quelque temps des volées de bernaches, la nuit. Les oies des neiges, elles, commençaient à peine à arriver cette semaine sur les battures du cap Tourmente. On en comptait une cinquantaine, mercredi dernier.

Déception: les cardinaux, qui nous tenaient compagnie depuis le printemps, semblent avoir disparu de mon patelin.