«Nous avons vécu la même expérience à notre chalet, écrit Jean-Guy Boissinot, de Saint-Jean-sur-Richelieu. Toute la devanture est en vitre, donc exposée aux tueries collectives, d'autant plus que le chalet est érigé en montagne et entouré de gros arbres.»

«Nous avons vécu la même expérience à notre chalet, écrit Jean-Guy Boissinot, de Saint-Jean-sur-Richelieu. Toute la devanture est en vitre, donc exposée aux tueries collectives, d'autant plus que le chalet est érigé en montagne et entouré de gros arbres.»

«Nous avons donc installé des moustiquaires en nylon à quelques centimètres des fenêtres. Ils sont invisibles de l'extérieur comme de l'intérieur. Les oiseaux qui s'y frappent rebondissent et échappent ainsi à la mort».

Élise Brossard, de Chicoutimi, a réglé le problème de la même façon. Pour sa part, Stéphanie Bélanger précise que le grillage réduit la réflexion des vitres et donne le temps aux oiseaux de changer de trajectoire. Richard Bérubé, de Sainte-Anne-de-Bellevue, lui, émet l'hypothèse que les jaseurs étaient peut-être en état... d'ébriété.

Il souligne que, sur la Côte-Nord, les jaseurs qui mangent des fruits du sorbier se comportent comme s'ils étaient ivres après leur repas. Un autre lecteur, Claude Leblanc, estime que le fait de suspendre des mobiles décoratifs pourrait éloigner les jaseurs en raison du bruit émis. À la condition que le vent veuille collaborer, évidemment.