Les bombardements se poursuivent, mais les troupes ukrainiennes résistent aux attaques. Un mois après le déclenchement de l’invasion russe, les pays alliés continuent d’apporter leur aide à l’Ukraine.

Situation en date du 23 mars

INFOGRAPHIE LA PRESSE

Sources : Institute for the Study of War, The New York Times, Agence France-Presse

Bombardements et combats

INFOGRAPHIE LA PRESSE

Sources : Institute for the Study of War, The New York Times, Agence France-Presse

Mercredi, quatre personnes ont été blessées dans des bombardements d’immeubles à Kyiv. Une frappe dans le stationnement d’un centre commercial a également fait un mort et deux blessés, selon le maire Vitali Klitschko. La capitale reste un objectif de l’armée russe, mais les contre-offensives ukrainiennes l’ont forcée à reculer ces derniers jours sur plusieurs fronts, a affirmé le maire.

4

Nombre de nouveaux groupements tactiques que l’OTAN va déployer en Bulgarie, en Roumanie, en Hongrie et en Slovaquie pour renforcer ses défenses contre la Russie, a annoncé son secrétaire général.

7000

Nombre d’armes antichars qui seront envoyées par la Suède (5000) et l’Allemagne (2000) pour soutenir l’Ukraine face à l’invasion russe, ont annoncé leurs gouvernements respectifs mercredi.

Couloirs humanitaires

INFOGRAPHIE LA PRESSE

Sources : Institute for the Study of War, The New York Times, Agence France-Presse

100 000

Nombre de personnes toujours à Marioupol, survivant « dans des conditions inhumaines », selon le président ukrainien mardi. « Nous essayons d’organiser des couloirs humanitaires stables pour les habitants de Marioupol, mais presque toutes nos tentatives, malheureusement, sont déjouées par les occupants russes, par des bombardements ou une terreur délibérée », a-t-il affirmé.

3,6 millions

Nombre de personnes qui ont fui l’Ukraine depuis le 24 février, selon le décompte de l’ONU publié mercredi. Au total, dix millions de personnes, soit environ le quart de la population du pays, ont été forcées de quitter leur foyer.

Avec l’Agence France-Presse, The New York Times et l’Institute for the Study of War