On peut ajouter le chef d'état-major des armées des États-Unis à la liste de ceux qui croient qu'il est dans l'intérêt des États-Unis de fermer la prison de la baie de Guantanamo.

Le général Martin Dempsey a déclaré que l'installation de l'armée navale des États-Unis à Cuba «est une cicatrice psychologique contre nos valeurs nationales. Peu importe si elle devait exister ou non, c'est le cas».

Les États-Unis ont récemment transféré plusieurs détenus, alors que le président Barack Obama tente d'avancer son projet de fermeture de la prison.

Le nombre de détenus est actuellement de 127.

Le général Dempsey a déclaré qu'il y avait «des dizaines» de personnes qui devaient toujours être détenues.

Il a mentionné à l'émission «Fox News Sunday» que la décision revenait aux dirigeants élus - quoi faire avec les détenus qui ne peuvent être libérés si le Congrès américain refuse de les transférer aux États-Unis.