Tout en niant que le souverain pontife fasse l'objet de menaces terroristes, l'Italie a annoncé renforcer sa sécurité intérieure, compte tenu de la menace grandissante que représente l'État islamique (EI).

Selon une information diffusée en début de semaine par le quotidien romain Il Tempo, et relayé par plusieurs médias dont le site américain The Daily Beast, le pape François serait désormais une cible privilégiée pour les djihadistes de l'EI, les disciples d'Abou Bakr al-Baghdadi accusant le chef de l'Église catholique d'avoir «porté de fausses accusations contre l'islam».

Rome et le Vatican parlent quant à eux de rumeurs «infondées».

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