Le groupe islamiste armé Boko Haram a revendiqué lundi l'enlèvement de plus de 200 étudiantes nigérianes survenu fin avril et a fait part de son intention de les «marier» et de les «vendre». La communauté internationale s'est alors mobilisée sur la Toile, le mot-clic #BringBackOurGirls devenant une tendance sur Twitter en Amérique du Nord, notamment.

Les internautes pressent ainsi le gouvernement nigérian d'agir.

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