5250 yuans, soit un peu plus de 840 $. C'est la rondelette somme qu'a obtenue l'artiste chinois Liang Kegang pour un petit bocal d'air «pur» de Provence vendu aux enchères à Pékin.

En vendant du «vent» du sud de la France ramené dans ses bagages, l'artiste militant avait pour objectif premier de dénoncer l'étouffante pollution qui sévit dans les grandes villes chinoises, les épisodes de smog les plus intenses étant même connus sous l'expression «Airpocalypse». Une façon originale de signifier le ras-le-bol des Chinois face à la question.

À lire rue89.nouvelobs.com et theguardian.com