L'histoire ne dit pas si l'homme de 20 ans a pour héros le gentleman cambrioleur Arsène Lupin. Toujours est-il que le jeune bandit a jugé bon au moment de libérer une gérante de bijouterie parisienne qu'il séquestrait à sa résidence, pendant que son complice dévalisait le coffre fort du magasin en question, de gratifier sa victime qui s'était bien comportée d'un gentil bisou sur la joue, afin «d'atténuer son traumatisme» avouera-t-il plus tard. Un baiser qui n'aura pas été sans conséquence puisque les policiers l'ont utilisé pour identifier le malfrat grâce à l'ADN que la marque d'affection avait laissé sur la joue de la jeune femme.

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