Elle a passé six ans prisonnière des guérilléros des Forces révolutionnaires de Colombie (FARC). L'ex-candidate à la présidence colombienne Ingrid Betancourt aurait toutes les raisons d'être une partisane de la ligne dure à l'encontre de «l'Armée du peuple», mais c'est plutôt dans la réconciliation et l'harmonie que l'ancienne femme politique franco-colombienne, qui étudie aujourd'hui la théologie, a la foi.

Dans une entrevue télévisée accordée au juge Garzón, recyclée en intervieweur pour le compte de la chaîne colombienne Canal Capital, Mme Betancourt dit croire aux négociations de paix avec la guérilla marxiste-léniniste et estime que la conjoncture politique est propice à la paix. «Si on n'y arrive pas avec Juan Manuel Santos, ce sera difficile», soutient Ingrid Betacourt.

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