James Cameron pourrait bien toucher des droits d'auteurs de fabricants d'armes d'ici une vingtaine d'années. Le réalisateur canadien, qui a porté à l'écran le robot de guerre le plus célèbre, the Terminator, pourrait voir son tueur automate investir les champs de bataille dès le début des années 2030. Une réalité qui dépasse la science-fiction et qui inquiète d'ores et déjà plusieurs prix Nobel de la paix et ONG.

Si les armes automatisées commencent déjà à s'illustrer sur le terrain de la guerre, le Dôme de Fer de Tsahal est d'ailleurs considéré comme le véritable «héros de guerre» de l'opération Pilier de défense, l'arrivée d'un soldat robotisé et entièrement indépendant dépasse de loin l'utilisation qu'«on fait aujourd'hui des drones et autres armes robotiques.

Une avancée qui pose un problème éthique important et force le droit humanitaire à se remettre en question.

À lire sur rue89.com