Les adeptes des hamburgers, poutines, hot dogs et autres classiques du fast-food auraient 51% plus de chance de faire une dépression. C'est ce que révèle une étude réalisée par des chercheurs espagnols de l'Université de Las Palmas de Gran Canarias, aux Îles Canaries, et publiée par la revue spécialisée en nutrition Public Health Nutrition.

Les grands coupables de cette propension du junk food à la dépression sont les acides gras et les graisses saturées qui pullulent dans les différents plats qui constituent les menus de la restauration rapide.

Ces acides et graisses saboteraient en fait le travail des neurotransmetteurs, indispensables au fonctionnement adéquat du cerveau.

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