Le site de microblogage Twitter est reconnu pour la rapidité à laquelle l'information y circule, coupant même parfois le scoop sous le pied du média officiel. Mais cette rapidité est à double tranchant, plusieurs envoyant leurs gazouillis plus vite qu'ils ne pensent. Ce qui peut avoir des conséquences sérieuses. Maxime Buizard de l'UMP l'aura appris à ses dépens.

Réagissant à l'introduction d'activistes de Greenpeace dans une centrale nucléaire française, le porte-parole des Jeunes de l'UMP du Loiret s'est emporté en twittant La gendarmerie aurait du abattre les terroristes de #greenpeace! Ils ne méritent pas de traitements particuliers... Bien que le jeune militant du parti de Sarkozy ait par la suite présenté ses excuses sur Twitter, l'UMP a tout de même décidé de mettre un terme à ses fonctions.

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