Pour la chroniqueuse du quotidien britannique The Independent, Christina Patterson, le docteur Conrad Murray reconnu coupable d'homicide involontaire par la justice américaine n'est pas le seul responsable de la mort du roi de la pop Michael Jackson.
Si la journaliste ne remet pas en question les négligences évidentes qui ont caractérisé la «pratique médicale» que le doc Murray offrait à l'interprète de Beat it, elle n'est évidemment pas de l'avis de tous ces fans agglutinés devant l'Édifice de la cour fédérale de Los Angeles à l'annonce du verdict et qui scandaient en choeur que justice avait été rendue.
Pour la columniste du Independent, les grands responsables de la fin tragique du «moon walker» sont d'abord sa famille et ses amis. Ses proches qui n'ont jamais décelé l'état de détresse psychologique dans lequel le prodige des Jackon Five se trouvait.
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