«Les autorités ne recrutent des femmes que pour montrer aux pays étrangers qu'elles respectent les droits et qu'il y a des femmes dans la police», soutient le sergent Zeba, qui agit comme agent de recrutement pour la Police nationale afghane (PNA).

Si Kaboul souhaite plus de femmes dans la police, les Afghanes qui font carrière dans les forces de l'ordre se heurtent à la barrière du sexisme. Pas de promotion, condamnées à des rôles subalternes, les policières afghanes qui rêvaient d'égalité et d'émancipation déchantent.

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