Pour l'écrivain guinéen Tierno Monémembo, lauréat du prestigieux Prix Renaudot en 2008, pour le roman Le Roi de Kahel, il ne peut y avoir qu'un seul coupable dans l'affaire DSK. Une seule coupable devrait-on lire. La femme de chambre.

Pour l'homme de lettre africain, quelle que soit l'issue du procès DSK (puisqu'il y aura procès), que le tribunal donne tort ou raison à la victime présumée, le destin de la mère monoparentale du Bronx est figé: elle sera désormais une «paria».

À lire sur lepoint.fr