Déjà surnommée la capitale de la mode et de la finance, Londres peut ajouter une nouvelle distinction à sa liste : championne du blanchiment de réputation.

Le Guardian rapporte en effet que la capitale britannique est devenue, au fil des ans, une destination de choix des chefs d'État du monde entier accusés de torture, de corruption ou d'entraves aux libertés fondamentales. Une activité d'ailleurs très lucrative : les firmes londoniennes auraient engrangé plusieurs millions de dollars l'année dernière pour assurer la promotion de certains des régimes politiques les plus contestés par les organisations de défense des droits de l'Homme, incluant le Rwanda, le Kazakhstan et le Sri Lanka.

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