C'était sans doute l'un des effets bénéfiques les moins prévisibles de la crise économique : elle serait responsable d'une baisse considérable du nombre d'attaques de requins aux Etats-Unis l'an dernier.

L'équation est fort simple: puisque les Américains ont moins d'argent et de temps pour s'offrir des vacances en bord de mer, les prédateurs ont moins de proie à se mettre sous la dent. La chute est particulièrement importante en Floride, qui n'a recensé que 17 morsures en 2009 contre 32 en 2008 et 2007.

Ces données tranchent avec la hausse mondiale enregistrée pour la décennie.

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