Les Italiens peuvent désormais organiser des patrouilles de volontaires pour renforcer la sécurité de leur quartier.

Les rondes ne pourront pas être formées de plus de trois personnes, âgées d'au moins 18 ans, vêtues de gilets jaunes fluo. Et surtout, les surveillants ne seront jamais armés.

Mais dans un pays réputé pour la puissance de ses groupes criminels organisés, cette initiative du gouvernement de Silvio Berlusconi suscite la polémique. Le Vatican a déclaré que ces rondes représentent «une abdication de l'État de droit», tandis que le Parti démocrate les a qualifiées « liberticides» et de «coup au coeur de la démocratie».

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