Quand j'écris un article pour La Presse, je pense toujours à mon père, qui est, sans contredit, mon lecteur le plus fidèle. Comme il n'a pas encore accès à internet, j'ai un peu l'impression d'être orphelin en tant que blogueur. Je lui souhaite quand même ici une joyeuse fête des pères, ainsi qu'à tous les lecteurs de ce blogue qui le sont.

P.S. : Il va sans dire que j'ai téléphoné à mon père ce matin. Il revenait de la pêche...

(Photo National Geographic)