C'est ce que recommande aujourd'hui la page éditoriale du New York Times si le solliciteur général des États-Unis ne désigne pas un procureur indépendant pour enquêter sur les déclaration et les agissements d'Alberto Gonzales. À deux reprises, le ministre de la Justice a notamment déclaré sous serment qu'il n'y avait pas eu de dissensions au sein de l'administration Bush au sujet du programme d'écoutes extra-judicaires. Il a été contredit par l'ancien numéro deux à la Justice, James Comey, et l'actuel directeur du FBI Robert Mueller.