«Je ne serais pas président si je buvais encore. Vous en venez à manquer de rigueur. Vous ne pouvez pas prendre de décisions. Ça brouille votre raison», a confié George W. Bush au journaliste texan Robert Draper, auteur de Dead Certain, un livre qui fait couler beaucoup d'encre ces jours-ci dans les journaux, y compris La Presse, où l'on trouve aujourd'hui ce texte d'Alexandre Sirois sur le sujet.

Dans ce billet, Pieter Dorsman contraste la sobriété du président Bush avec l'alcoolisme de Winston Churchill, son modèle avoué dans la guerre contre le terrorisme, qui buvait du vin ou du whiskey à l'heure du petit-déjeuner. À quoi ressemblerait le monde aujourd'hui si le pourfendeur du nazisme avait épousé le raisonnement de Bush en ce qui concerne la consommation d'alcool? Cheers!