Pour Paul, ce sera une occasion rêvée de présenter ses idées, qui tranchent souvent avec celles du GOP actuel, notamment en matière de politique étrangère. Il devra évidemment tenir tête à Russert, dont les questions ont déstabilisé Rudy Giuliani et Mitt Romney. Dans ce texte, Jeff Freeland lui offre un conseil d'ami :
It's time for Paul to take some of that money and hire coaches to get him ready for this interview. If he bombs here (and I'm talking about with undecided voters and the rest of the mainstream America; we all know his supporters will love what he says), he will be labeled a kook and lose whatever opportunity for any type of impact other than his online support.
P.S. : Le commentateur Andrew Sullivan a lui-même fracassé un record cette semaine en donnant son appui à Ron Paul dans la course à l'investiture républicaine. Le billet qu'il a consacré à ce sujet est devenu le plus populaire de sa carrière de blogueur émérite. Go Paul go!