Le New York Times consacre cet article à la relation de Barack Obama avec Tony Rezko, un homme d'affaires de Chicago dont le procès pour corruption s'ouvrira lundi. Rezko n'est pas seulement un ancien contributeur d'Obama mais également un partenaire dans une transaction immobilière qui a aidé le sénateur de l'Illinois à acheter la maison de ses rêves.
Obama, qui n'est pas impliqué dans le procès de Rezko, a déjà reconnu avoir commis une erreur en nouant une relation d'affaires avec son ancien contributeur. Je cite dans le texte un extrait de l'article du Times, qui vient d'être publié sur son site internet et qui paraîtra dans son numéro dominical :
Mr. Obama's name is likely to surface during the trial, if only because $10,000 of the money Mr. Rezko is accused of extorting wound up in Mr. Obama's 2004 Senate campaign. There is nothing to indicate that Mr. Obama did any favors for Mr. Rezko, but there is ample evidence that Mr. Rezko did favors for Mr. Obama.
The two men met in the early 1990s when Mr. Rezko tried to hire Mr. Obama to work on his low-income housing developments. When Mr. Obama turned to politics, Mr. Rezko was an early supporter and fund-raiser. Mr. Rezko also stepped in when Mr. Obama, a newly-elected United States senator, and his family found a Georgian mansion for sale in the Kenwood section of Chicago.
(Photo AP)