«Si c'est avéré, cela témoigne d'une absence de confiance.»

Woodward confirme par ailleurs que le fameux sursaut militaire (surge) n'est pas le facteur principal de la diminution des violences en Irak. Trois autres facteurs ont joué : les opérations secrètes des Américains ciblant les chefs de l'insurrection; la décision de l'imam radical chiite Moqtada al-Sadr d'observer un cessez-le-feu; le Réveil d'Anbar.