«C'est vraiment un dur coup pour la démocratie parlementaire au Canada. Cela a diminué le statut du Parlement élu et élevé le statut du premier ministre non-élu.»

- Nelson Wiseman, politologue de l'Université de Toronto, cité par le New York Times, qui voit dans cette opinion le consensus des constitutionnalistes canadiens à propos de la décision de la gouverneure générale.