Je traduis l'entrée en matière d'un article publié aujourd'hui dans le New York Times :

«Quand il est question des Canadiens, on peut toujours évoquer une fière tradition ou une autre, comme celle du jeune gardien, relativement vert, qui sort de l'obscurité pour mener son équipe dans une chevauchée étonnante durant les séries éliminatoires.

En 1971, il y a eu Ken Dryden; en 1986, il y a eu Patrick Roy. Maintenant, il y a Jaroslav Halak, grâce auquel les Canadiens connaissent un départ aussi fort qu'inattendu dans cette après-saison.

Halak recevra sûrement la plus grosse ovation au Bell Center mardi soir...»

(Photo Reuters)