Les États-Unis chercheront à utiliser la mort d'Oussama ben Laden pour conclure un accord avec les talibans et accélérer la fin de la guerre en Afghanistan, selon cet article du Washington Post. Des responsables américains estiment notamment que le chef de la plus grande faction des talibans, Mohammad Omar, pourrait désormais accepter plus facilement de rompre les liens de son organisation avec Al-Qaïda, une des conditions que posent les États-Unis à tout accord avec le mouvement islamiste.