Après neuf ans de présence, près de 4 500 soldats tués, plus de 30 000 blessés et près de mille milliards de dollars dépensés, les États-Unis ont officiellement mis fin aujourd'hui à la guerre en Irak lors d'une cérémonie à Bagdad en présence du secrétaire à la Défense Leon Panetta.

Le conflit a coûté la vie à plus de 100 000 civils et 20 000 soldats irakiens.

Les États-Unis compléteront d'ici la fin du mois leur retrait d'un pays où la violence continue à faire des victimes et où la démocratie est fragile, voire illusoire.

(Photo AP)