En lisant ce titre à la Une du New York Times, j'ai pensé pendant un moment que Lance Armstrong songeait à passer aux aveux sur son recours à des produits dopants afin de soulager sa conscience après des années de mensonges, de manipulations et d'intimidation.

Mais j'ai vite compris à la lecture de l'article de Juliet Macur qu'il n'y aurait rien de gratuit dans cette démarche. Selon la journaliste du Times, l'ancien champion du Tour de France voudrait par sa confession convaincre les responsables de l'Agence américaine antidopage de lui permettre de reprendre sa carrière.

Que répondriez-vous à leur place?