Ciblé par un drone américain, «Jihadi John», le bourreau britannique du groupe État islamique, est-il mort ou vivant? S'il faut en croire cet article du New York Times, les responsables américains et britanniques ne connaissent pas encore la réponse à cette question.

Considéré par le premier ministre britannique David Cameron comme un «acte d'autodéfense», le raid américain a coïncidé avec la reprise de la ville irakienne de Sinjar par les forces kurdes, qui y ont délogé les combattants de l'EI avec le soutien de l'aviation américaine.