Le New York Times qualifie de «tournant majeur dans une course folle» l'appui de Chris Christie à Donald Trump. Il s'agit sans contredit de la plus grosse prise de l'ancienne vedette de la télé-réalité, qui avait été boudé jusque-là par l'establishment républicain.

Il s'agit aussi d'un coup dur pour Marco Rubio, traité de «désespéré» par le gouverneur du New Jersey lors d'une conférence de presse à Forth Worth, où Trump rayonnait à ses côtés. Mais il y a lieu de croire que le candidat milliardaire n'avait pas besoin de cet appui pour remporter la course à l'investiture républicaine.

Quoi qu'il en soit, Christie s'est assuré ainsi d'une place au sein de l'administration Trump, si bien sûr celle-ci devient réalité.

N.B. : Seuls les fous ne changent pas d'idée. En août dernier, Christie disait ceci au sujet de Trump : «Donald est un chic type. C'est juste que je ne pense pas qu'il soit apte à devenir président des États-Unis.»